Aimée;
Que je ne peux approcher;
Derrière, un mur de glace;
Je ne peux que t’apercevoir;
Je devine au loin, des larmes couler de ton visage blanc;
Ta main est si loin, je ne peux l’attraper;
Tout devient flou à mes yeux;
Tu es mon Yin, tu me fais souffrir de ton absence;
Je voudrais t’attraper;
Tu t’éloignes, et reviens, selon le vent;
Emportées par les tempêtes de nos cœurs.
Le long d’un chemin grisaillé tu t’en vas pleurer;
Je tape, aussi fort que je peux, pour briser le mur;
Un miroir de diamant qui brille mais ne se brise point;
Un jour je te reverrais;
Je sais que s’aimer sera possible un jour en ce monde;
Monde de haine;
Je te chercherais, le temps durera.